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Believe…
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Je choisis…
“Je choisis
De vivre par choix, pas par hasard;
D’apporter des changements, pas des excuses;
D’être motivé, pas manipulé:
D’exceller, pas de concurrencer…
Je choisis l’estime de soi, pas la pitié de soi.
Je choisis d’écouter ma voix intérieure, pas l’opinion aléatoire des autres “
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Le prix de l’amour …
Un agriculteur avait des chiots qu’il voulait vendre.
Il peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour.
Comme il plantait le dernier clou dans le poteau il sentit qu’on tirait sur sa salopette.
Il regarda vers le bas et rencontra les yeux d’un petit garçon.
Monsieur, dit-il,”je veux acheter un de vos chiots ”
«Eh bien» dit le fermier, en essuyant la sueur à l’arrière de son cou :
“Ces chiots viennent de parents très racés et coûtent beaucoup d’argent”.
Le garçon baissa la tête un moment.
Ensuite, fouillant profondément dans sa poche il sortit un peu de monnaie et la tendit à l’agriculteur.
«J’ai trente-neuf centimes. Est-ce suffisant pour en acheter un ? ”
«Bien sûr» dit le fermier … Et il siffla «Ici, Dolly! ” appela t-il …
Quittant la niche et descendant la rampe, Dolly courut suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie.
Comme les chiens arrivaient à la clôture le petit garçon remarqua quelque chose d’autre qui remuait à l’intérieur de la niche.
Lentement une autre petite boule apparut, nettement plus petite.
En bas de la rampe, elle glissa.
Ensuite, de manière un peu maladroite le petit chiot clopina vers les autres faisant de son mieux pour les rattraper.
«Je veux celui-là” dit le petit garçon pointant l’avorton.
L’agriculteur s’agenouilla à côté du petit garçon et lui dit:
Mon fils, tu ne veux pas ce chiot … Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens.
Le petit garçon recula de la clôture se baissa et commença à rouler une jambe de son pantalon.
Ce faisant il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue …
En regardant l’agriculteur, il dit: «Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même non plus et il aura besoin de quelqu’un qui le comprend ”
Des larmes dans les yeux, l’agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot … Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon ”
Combien? demanda le petit garçon …
“Rien”, répondit le paysan, ” il n’y a pas de prix pour l’amour”.
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L’écho de la vérité…
Avant que le monde ne se vide de ses dieux, il existait dans une lointaine contrée, une montagne sacrée dont l’écho rendait le son de la vérité.
Il suffisait de se dresser face à elle et de confier aux vents violents les secrets de son coeur ou de lancer les énigmes les plus impénétrables dont les réponses revenaient bientôt s’élevant de la masse pierreuse en un écho assourdissant.
Ce jour là, 3 hommes de religions différentes décidèrent de se rendre au pied de la montagne sacrée.
Une querelle d’importance les opposait depuis bien longtemps:
quel Dieu est le bon?
Quel Dieu doit-on craindre?
Quels textes religieux faut-il vénérer?
Pour convaincre ses deux interlocuteurs sceptiques, que seul son Dieu mérite d’être révéré, le Chrétien se dresse fièrement au bord du précipice et crie:
« Montagne sacrée, fais que ton écho me donne raison!
N’est-il pas écrit dans la Bible qu’Il est notre seul seigneur? »
Au bout d’une minute, les vents se font plus violents et l’écho gronde une réponse:
« Tu dis vrai, Chrétien, il n’y a qu’un seul Dieu.
C’est celui que tu vénères ».
Satisfait, le Chrétien se tourne vers les deux autres:
« Ne vous l’avais-je pas dit? »
« Impossible ! Rétorque son compagnon juif,
c’est la Tora qui renferme la vérité. »
A son tour il s’avance au bord du gouffre et lance :
« Écho, pourquoi ne leur dis-tu pas que c’est moi qui suis le vrai croyant ici ? La Tora dit
« Écoute Israël, l’Éternel est notre Dieu, l’Éternel est un » ?
Et l’Echo répond:
« C’est vrai. Dieu est unique et c’est lui que tu adores ».
» Fils de mécréants s’insurge soudain le frère musulman, c’est mon écho qui aura le dernier mot. »
Il gonfle sa poitrine et hurle:
« Echo, je te somme de dire la vérité.
N’est-ce pas moi qui suis dans le vrai et mes frères dans le péché car le Coran dit :
« Il n’y a pas de dieu en dehors de Dieu »!
Pour la troisième fois, l’écho rendit le son du vrai:
« Précisément, il n’y a pas d’autre Dieu que celui que tu viens de citer ».
Mais les 3 hommes restèrent muets.
Comment l’Echo- qui dit toujours la vérité – pouvait-il assurer que leur dieu respectif était le seul vrai Dieu ?
Pas question de repartir sans exiger une dernière explication.
L’un d’eux alors se risqua et invoqua l’Echo en ces termes:
« Tu ne peux nous tromper ainsi, Echo.
Il faut, pour que nos coeurs soient apaisés, que la vérité se fasse « .
Pour la dernière fois, la montagne résonna et l’Echo,porté par les vents assourdissants vint frapper les 3 paires d’oreilles :
« Hommes!
Quand comprendrez-vous que vous adorez le même Dieu depuis le début des temps et qu’il ne prend la parole que pour vous dire à tous la même chose
Vous êtes comme le sourd qui accuse celui qui parle de ne pas le faire assez fort… »
…………………………………………………………
« Quiconque honore sa religion et condamne les autres nuit gravement à sa propre religion ».
Source: Shafique Keshavjee
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le roi Salomon et la petite fourmi
On dit que le roi Salomon, un jour qu’il était las des prestiges du monde, s’en alla méditer sans femme ni guerrier dans le vaste désert.
Or, comme il cheminait à longs pas dans le sable, le front penché, l’esprit paisible, au bout de sa sandale il vit une fourmi.
Elle marchait comme lui, elle aussi tête basse, indifférente à tout, têtue comme au labour, refusant l’abri des cailloux, la halte au frais des herbes rares.
Salomon, la voyant si brave et obstinée, se pencha sur elle. Il lui dit :
“Où vas-tu donc, petite soeur ?”
Elle répondit : “Grand roi, ne me retarde pas. Je cours où mon âme m’appelle, à la poursuite des gazelles. »
“Amie, lui demanda le roi, connais-tu ces bêtes divines ? »
“Hélas non, répondit la bestiole pressée, mais j’ai vu leurs ombres passer, et j’en fus tant bouleversée que je ne peux vivre sans elles. »
Le roi des rois s’agenouilla, la prit sur le bout de son doigt, sourit, lui dit enfin : “Comment peux-tu rêver en rejoindre quelqu’une ? Elles vont droit comme l’oeil à travers le désert, elles franchissent d’un saut la dune que tu escalades en cent jours. A suivre leurs sabots tu tomberas bientôt dans une empreinte creuse et la brise qui tout efface, peut-être t’enfouira dedans. Quitte tes illusions, pauvre amie valeureuse, et retourne à la fourmilière que tu n’aurais pas dû quitter. »
“Je sais, ô roi des rois, que la raison t’inspire, répondit la fourmi. Mon pas est court, ma vie n’est qu’un jour de la tienne, mon ciel n’est pas plus haut qu’un brin d’herbe naissant. Je ne suis rien, j’aspire à la grâce parfaite, j’avoue que c’est grande folie. Mais qu’importe à mon coeur aimant ? L’espoir me tient, me tire et pousse, ne me laisse point en repos. Il occupe toute ma vie. Je veux lui obéir sans faute et la mort ne me sera rien si elle me prend sur mon chemin, à la poursuite des gazelles. »
Henri Gougaud Paramour
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Fernando Pessoa…
« Reconnaître la vérité comme vérité, et en même temps comme erreur ; vivre les contraires, sans les accepter ; tout sentir de toutes les manières, et n’être à la fin rien d’autre que l’intelligence de tout – quand l’homme s’élève à un tel sommet, il est libre comme sur tous les sommets, seul comme sur tous les sommets, uni au ciel, auquel il n’est jamais uni, comme sur tous les sommets. »
***
« Je ne sais quel est le chemin…
… Parce que chemin et route
Sont de terre, et l’important c’est d’avancer;
Il est de peu de poids que la route aille à rien…
Seul vaut celui qui marche : il est celui qui vit
Ainsi, adulte de ce que j’ai voulu faire,
Je vais en cheminant vers tout ce que j’ai eu
Et sais bien que je ne pourrais pas le ravoir. »
(traduction aléatoire hélas, dont je ne suis pas l’auteur…)
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La conjugaison peut-elle être une philosophie de vie ?
Pour cela, oublie ton passé, qu’il soit simple ou composé. Participe au présent pour que ton futur soit plus-que-parfait…
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Trois stratégies dans la vie ?
Barka est un Sage africain. Il tient un billard quelque part sur le Vieux Continent. Un jour, trois jeunes viennent le trouver. « Nous avons un problème avec notre ami Alex, qui est dominateur, agressif, intolérant. Nous ne sommes pas d’accord sur la façon de réagir. »
« Il faut l’affronter, dit Arthur. D’abord gentiment, en lui disant ce qui nous dérange dans sa façon d’agir et en essayant de le convaincre de changer. Et si ça ne marche pas, il faut entrer dans une confrontation plus dure et ne plus se laisser faire. Devenir agressif si nécessaire. » « Je crains, dit Peter, que ça ne déclenche un conflit ou de la violence. Je n’aime pas ça. Il vaut mieux, s’en éloigner, l’éviter. » « C’est notre ami, dit Claudio, nous ne devons pas le rejeter. Je préférerais qu’on cherche à l’accepter comme il est. »
« Vous avez tous raison, dit Barka. Faire face, affronter, agir pour changer ce qui ne vous convient pas est une bonne chose. Mais si vous échouez, prenez garde que l’affrontement ne se transforme en acharnement ou en violence. Il vaut alors mieux lâcher prise et choisir une autre stratégie : l’évitement, l’éloignement, la fuite. » « Je n’aime pas cela, dit Claudio. L’évitement est pour moi une forme de facilité, de démission, de lâcheté. » « Si c’est la peur de l’affrontement qui te pousse à fuir, dit Barka, tu as raison de penser cela. Mais si tu as tout tenté pour changer les choses, sans succès, ou que continuer à faire face est au‐dessus de tes forces, l’évitement devient un bon choix. »
« Et il y a encore une troisième option : l’acceptation. Quand on ne peut ni modifier ni éviter une réalité désagréable, il faut apprendre à l’accepter. » « C’est de la soumission ou de la résignation, dit Arthur. Cela ne me convient pas. » « L’acceptation n’est pas de la résignation, dit Barka. » « Quelle est la différence, dit Arthur ? »
« Si tu ne peux ni changer la réalité ni l’éviter, dit Barka, il faut changer tes attentes ou ton idéal, en faire le deuil, apprendre à accepter et aimer la réalité comme elle est. Et c’est lorsque tu ne peux ou ne veux changer ni la réalité ni ton idéal que tu te condamnes à la résignation, c’est‐à‐dire à la frustration et à l’impuissance. »
« Chaque fois qu’une réalité nous est contraire, nous avons ces trois choix, demandèrent les trois amis ? » « Oui, dit Barka. Vous avez le choix entre l’affrontement, l’évitement et l’acceptation. Ou leur face sombre : la violence, la démission, la résignation. À vous de choisir judicieusement. »
Et Barka servit à nos trois jeunes une boisson revigorante dont lui seul avait le secret.
Source : Charles Brulhart –
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