Over the wall

The graves of a Catholic woman and her Protestant husband, who were not allowed to be buried together. On the Protestant part of this cemetery J.W.C van Gorcum, colonel of the Dutch Cavalry and militia commissioner in Limburg is buried. His wife, lady J.C.P.H van Aefferden is buried in the Catholic part. They were married in 1842, he was a protestant and didn’t belong to the nobility.

This caused quite a commotion in Roermond. After being married for 38 years the colonel died in 1880 and was buried on the protestant part of the cemetery against the wall. His wife died in 1888 and had decided not to be buried in the family tomb but on the other side of the wall, the closest she could get to her husband. Two clasped hands connect the graves across the wall.

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Un jour…

“Un jour vous changerez la vie de quelqu’un, car vous serez la meilleure chose qui lui soit jamais arrivée.
Un jour, vous aiderez quelqu’un à croire en lui-même.
Vous lui redonnerez le sourire, et un espoir de réaliser ses rêves.
Et lui permettrez d’ouvrir ses ailes et de voler à nouveau.
Un jour, vous allumerez toute chose d’un éclat plus vif dans la vie de quelqu’un, et mettrez la lumière sur tout ce qu’ils ont caché.
Un jour, vous serez la raison qui se cache derrière le sourire de quelqu’un.
Vous serez sa joie de vivre et ses larmes de bonheur.
Vous serez la personne qui l’aidera à voir la vie du bon côté, et qui lui rappellera que la beauté est toujours dans l’œil de celui qui regarde.
Un jour, vous serez la meilleure chose qui puisse arriver à quelqu’un.
Vous serez tout ce qu’il/elle recherchait.
Un jour, vous serez le processus d’enracinement d’une personne.
Et serez la personne qui lui fera voir qu’on peut trouver le vrai bonheur.
Un jour, vous aiderez quelqu’un à redevenir lui-même.
Et vous serez le guide qui l’aidera à trouver sa propre voie.
Vous serez la personne qui le motivera à ne jamais cesser de croire en ses rêves.
Car un jour, vous rencontrerez quelqu’un qui sera la meilleure chose qui vous soit jamais arrivée. »
Sarah Rougeau

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Langage et Démocratie

′′ Le QI moyen de la population mondiale, qui a toujours augmenté de l’après-guerre à la fin des années 90, est en baisse au cours des vingt dernières années…
C’est le retournement de l’effet Flynn.
Il semble que le niveau d’intelligence mesuré par les tests diminue dans les pays les plus développés.
Beaucoup peuvent être les causes de ce phénomène.
L’une d’entre elles pourrait être l’appauvrissement du langage.
Plusieurs études montrent en effet la diminution de la connaissance lexicale et l’appauvrissement de la langue : il ne s’agit pas seulement de la réduction du vocabulaire utilisé, mais aussi des subtilités linguistiques qui permettent d’élaborer et de formuler une pensée complexe.
La disparition progressive des temps (subjonctif, imparfait, formes composées du futur, participant passé) donne lieu à une pensée presque toujours au présent, limitée actuellement : incapable de projections dans le temps.
La simplification des tutos, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont des exemples de ′′ coups mortels ′′ à la précision et à la variété de l’expression.
Juste un exemple : supprimer le mot ′′ jeune fille ′′ (désormais désuet) ne signifie pas seulement abandonner l’esthétique d’un mot, mais aussi promouvoir involontairement l’idée qu’il n’y a pas de phases intermédiaires entre une enfant et une femme.
Moins de mots et moins de verbes conjugués impliquent moins de capacité à exprimer les émotions et moins de possibilités d’élaboration d’une pensée.
Les études ont démontré que la violence dans les sphères publiques et privées provient directement de l’incapacité à décrire ses émotions à travers les mots.
Pas de mots pour construire un raisonnement, la pensée complexe est rendue impossible.
Plus le langage est pauvre, plus la pensée disparaît.
L ‘ histoire est riche en exemples et de nombreux livres (Georges Orwell – ′′ 1984 “; Ray Bradbury – ′′ Fahrenheit 451 ′′) ont raconté comment tous les régimes totalitaires ont toujours entravé la pensée, par une réduction du nombre et du nombre sens des mots.
S ‘ il n’y a pas de pensées, il n’y a pas de pensées critiques. Et il n’y a pas de pensée sans voix.
Comment peut-on construire une pensée hypothétique déductive sans conditionnelle ?
Comment peut-on envisager l’avenir sans conjugaison avec l’avenir ?
Comment peut-on capturer une tempête, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou futurs, et leur durée relative, sans une langue qui distingue ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait être Être, et ce qui sera après que ce qui aurait pu arriver, est-il vraiment arrivé ?
Chers parents et enseignants : faisons parler, lire et écrire nos enfants, nos élèves. Enseigner et pratiquer la langue sous ses formes les plus différentes. Même si ça semble compliqué. Surtout si c’est compliqué.
Parce que dans cet effort il y a la liberté.
Ceux qui affirment la nécessité de simplifier l’orthographe, de purger la langue de ses ′′ défauts “, d’abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée la complexité, sont les vrais artisans de l’appauvrissement de l’esprit humain.
Il n’y a pas de liberté sans nécessité.
Il n’y a pas de beauté sans la pensée de la beauté “

Christophe Clavé

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L’acte positif


L’acte positif fait avec amour et compassion
Est générosité parce qu’il est pour le bien des êtres,
Discipline parce qu’il est dépourvu de désir égoïste,
Patience parce qu’il fait inlassablement le bien d’autrui ;
Diligence parce qu’il est exécuté dans l’enthousiasme ,
Concentration parce qu’il est focalisé sur le bien des êtres ;
Et Connaissance s’il est libre d’attachement à l’existence réelle des choses :
Un tel acte n’est jamais dissocié des vertus transcendantes.

JIGME LINGPA (1729-1798)
Le Trésor de précieuses qualités, p. 96

📷 Matthieu Ricard, YUKON Canada

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Quand le Professeur Delperee nous fait entrer dans la danse…

La valse parlementaire (publié dans La Libre Belgique de ce 9 mars)

La valse se danse en trois temps. Y compris dans les salons politiques.

Au premier temps de la valse, le Parlement occupe une place privilégiée. Nous sommes au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe. L’âge d’or de la Belgique unitaire. Le moment rêvé du parlementarisme, assorti à partir de 1921, d’un bicamérisme parfait. L’attelage de « la loi » et de « la liberté », comme le chante La Brabançonne. Une légitimité qui puise ses racines dans le suffrage universel (masculin), dès la fin de la Première guerre.

« Tous les pouvoirs émanent de la nation », dit la Constitution. Qui mieux que le Parlement va exprimer ses préoccupations ? L’on en déduit, au prix d’un raccourci hasardeux, que le Parlement dispose de tous les attributs du pouvoir. Quitte à en déléguer des parcelles à des acolytes.

Deuxième temps. Dès le milieu du XXe siècle, la suprématie du Parlement est battue en brèche. En droit comme en fait. L’Europe affirme la primauté du droit de l’Union sur la loi nationale La Cour constitutionnelle rappelle au Parlement qu’il n’est souverain que dans le respect de la Constitution. Communautés et régions investissent allègrement les domaines réservés à la loi.

Plus fondamental. L’Exécutif prend progressivement le dessus. En Belgique comme ailleurs. Il est le moteur de l’action politique. Il fait partie, structurellement parlant, du « pouvoir législatif ». Avec l’appui d’une majorité tout à la fois gouvernementale et parlementaire, il impose un programme. Il établit des lignes de conduite. Il a la haute main sur les relations internationales.

Dans le même moment, une part de la société civile ne ménage pas ses critiques. Elle se prononce « contre les élections ». Elle critique les lenteurs du processus législatif. Elle propose des formes alternatives de délibération. Elle demande à des experts non élus d’accompagner des novices tirés au sort.

Au troisième temps de la valse, vient la pandémie. Avec son lot de paradoxes.

D’une part, le Parlement s’applique à lui-même les gestes-barrières. La confiance au gouvernement De Croo est apportée dans l’hémicycle du Parlement européen. In gurgite vasto. Les votes hebdomadaires se font à distance — pour la plupart des élus, à domicile. L’activité parlementaire n’est pas inexistante, notamment en commission. Mais elle est restreinte.

D’autre part, le Parlement est le réceptacle de toutes les requêtes. Chacun s’adresse à lui. Les constitutionnalistes, les avocats et les politistes. Les médecins, les épidémiologistes ou les statisticiens. Sans oublier les journalistes, les syndicalistes et les acteurs culturels. Ou, tout simplement, les citoyens, isolés ou en groupe.

Le propos est direct. « Réveillez-vous ! Exercez la fonction délibérative ! Soyez nos interprètes ! Défendez nos libertés ! Exercez votre esprit critique à l’égard de ministres omniscients, omniprésents et omnipotents ! Vous n’avez pas le droit de vous mettre en quarantaine !». Inutile d’’ajouter que ce message véhicule son paquet d’exagérations : « dictature », « tyrannie», « mesures liberticides » ; à tout le moins, « estompement des règles démocratiques ».

Paradoxe supplémentaire. Les adorateurs actuels du Parlement se recrutent dans les rangs de ceux qui, hier, n’avaient de cesse de célébrer les mérites des panels citoyens. Voici la démocratie représentative mise sur le pavois par ceux qui ne juraient hier que par la démocratie participative !

Comment sortir de l’impasse actuelle ? Je n’ai de leçon à donner à personne. Mais je me dis qu’il serait peut-être temps de retrouver le rythme de la valse. En trois temps., bien entendu.

Vient, en premier, un rappel. « La Constitution ne peut être suspendue en tout ni en partie ». Imaginons que, pour des raisons sanitaires impérieuses, des atteintes doivent être portées, non seulement à l’exercice mais au cœur d’une liberté, comme celle d’aller et de venir. Impossible d’opérer sans supprimer le verrou de l’article 187. Or, la disposition ne figure pas dans la déclaration de révision du 20 mai 2019…

En deux, autre rappel. L’on sait, depuis Montesquieu, que les libertés s’exercent à l’abri de la loi. Et pas d’arrêtés ministériels. Guère de doute à cet égard. Il faut légiférer. Surgit ici une alternative. Faut-il rédiger une loi Corona, pour rencontrer les difficultés suscitées par la Covid-19 ? Une manière de régulariser le passé. Faut-il plutôt envisager l’avenir et concevoir une loi pérenne pour faire face aux agressions de tous ordres qui pourraient affecter, un jour, le pays ?

Faut-il, comme au Luxembourg, envisager la survenance de situations de crise ? En cas de « menaces réelles pour les intérêts vitaux de tout ou partie de la population », le gouvernement prend, dans les dix jours, des mesures règlementaires ; l’assemblée peut proroger « l’état de crise » pour trois mois au maximum (art. 32, al. 4).

Si l’on ne veut pas être pris de court à la prochaine épidémie, il faut sans doute dépasser la seule perspective Corona.

Trois. Si prévoyant soit-il, le législateur ne peut tout envisager. Il est de bonne méthode de laisser au gouvernement une marge d’appréciation quant aux mesures concrètes à prendre dans l’instant. A charge pour lui d’expliquer, à intervalles réguliers, au Parlement et à l’opinion publique le bien-fondé de ces mesures. A charge aussi pour le Parlement de les approuver ou de les récuser.

Je ne me range pas parmi ceux qui, après avoir enterré le Parlement, lui attribuent aujourd’hui des vertus mirifiques. J’ai suffisamment fréquenté les assemblées pour en connaître les forces et les faiblesses. Je considère que l’opposition frontale que certains veulent instaurer entre les branches du pouvoir législatif est dangereuse. Seule leur collaboration peut se révéler utile.

Dans ces conditions, j’en appelle à la modestie et au réalisme. Ne jouons pas aux matamores. Laissons au vestiaire les anathèmes et les oukases. Faisons de notre mieux dans des circonstances difficiles. Apportons, chaque jour, aux malades les meilleurs soins auxquels ils ont droit. Protégeons les bien portants.

Construisons, avec les moyens du bord, les solutions qui sont à notre portée. Rédigeons sans tergiverser une loi. Elle servira de partition pour la valse de demain. Celle que chacun des acteurs du système politique interprétera. En cadence, svp.

Gouvernement et Parlement n’ont aujourd’hui qu’un devoir. Il est essentiel. Rendre espoir aux citoyens.

Francis Delpérée
Constitutionnaliste UCLouvain
Sénateur honoraire.

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Le courage…

Le courage?

“Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques.
Le courage, ce n’est pas de laisser aux mains de la force la solution des conflits que la raison peut résoudre (…).
Le courage, c’est de supporter sans fléchir les épreuves de tout ordre, physiques et morales, que prodigue la vie.
Le courage, c’est de ne pas livrer sa volonté au hasard des impressions et des forces (…).
Le courage, c’est de comprendre sa propre vie, de la préciser, de l’approfondir, de l’établir et de la coordonner cependant avec la vie générale (…).
Le courage, c’est de dominer ses propres fautes, d’en souffrir mais de ne pas en être accablé et de continuer son chemin.
Le courage, c’est d’aimer la vie et de regarder la mort d’un regard tranquille ; c’est d’aller à l’idéal et de comprendre le réel ; c’est d’agir et de se donner aux grandes causes sans savoir quelle récompense réserve à notre effort l’univers profond, ni s’il lui réserve une récompense.

Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques.”

Jean Jaurès, Discours à la jeunesse, 1903.

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Laisse partir les gens…

“Laisse partir les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer !
C’est la chose la plus difficile que tu auras à faire dans ta vie, et elle sera aussi la plus importante : arrête de donner ton amour à ceux qui ne sont pas prêts à t’aimer.
Arrête d’avoir des conversations difficiles avec des gens qui ne veulent pas changer.
Arrête d’apparaître pour les gens qui sont indifférents à ta présence.
Arrête d’aimer les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer.
Je sais que ton instinct est de tout faire pour gagner les bonnes grâces de tous ceux qui t’entourent, mais c’est aussi l’impulsion qui te volera ton temps, ton énergie et ta santé mentale, physique et spirituelle…

Quand tu commences à te manifester dans ta vie, complètement, avec joie, intérêt et engagement, tout le monde ne sera pas prêt à te trouver à cet endroit de pur sincérité…
Ça ne veut pas dire que tu dois changer ce que tu es.
Ça veut dire que tu dois arrêter d’aimer les gens qui ne sont pas prêts à t’aimer.

Si tu es exclu(e), insulté(e) subtilement, oublié(e) ou facilement ignoré(e) par les personnes à qui tu offres ton temps, tu ne te fais pas une faveur en continuant à leur offrir ton énergie et ta vie.
La vérité, c’est que tu n’es pas tout le monde… Et que tout le monde n’est pas pour Toi…

C’est ce qui rend ce monde si spécial, quand tu trouves les quelques personnes avec qui tu as une amitié, un amour ou une relation authentique…
Tu sauras à quel point c’est précieux…
Parce que tu as expérimenté ce qui ne l’est pas…

Mais plus tu passes de temps à essayer de te faire aimer de quelqu’un qui n’en est pas capable…
Plus tu perds de temps à te priver de cette même connexion…

Il y a des milliards de personnes sur cette planète, et beaucoup d’entre elles vont se retrouver avec toi, à leur niveau, avec leur vibration, de là où elles en sont…

Plus tu restes petit(e), impliqué(e) dans l’intimité des gens qui t’utilisent comme un coussin, une option de second plan, un(e) thérapeute et un(e) stratège à leur guérison émotionnelle…
Plus de temps tu restes en dehors de la communauté que Tu désires.

Peut-être que si tu arrêtes d’apparaître, tu seras moins recherché(e)…
Peut-être que si tu arrêtes d’essayer, la relation cessera…
Peut-être que si tu arrêtes d’envoyer des textos, ton téléphone restera sombre pendant des jours et des semaines…
Peut-être que si tu arrêtes d’aimer quelqu’un, l’amour entre vous va se dissoudre…

Ça ne veut pas dire que tu as ruiné une relation !
Ça veut dire que la seule chose qui tenait cette relation était l’énergie que TOI et TOI SEUL(E) engageais pour la maintenir à flots.
Ce n’est pas de l’amour.
C’est de l’attachement.
C’est vouloir donner une chance à qui n’en veut pas !

La chose la plus précieuse et la plus importante que tu as dans ta vie, c’est ton énergie.
Ce n’est pas que ton temps puisqu’il est limité…
C’est ton énergie !
Ce que tu donnes chaque jour est ce qui se créera de plus en plus dans ta vie.
C’est ceux à qui tu donneras ton temps et ton énergie, qui définiront ton existence.

Quand tu te rends compte de ça, tu commences à comprendre pourquoi tu es si impatient(e) quand tu passes ton temps avec des gens qui ne te conviennent pas, et dans des activités, des lieux, des situations qui ne te conviennent pas.

Tu commenceras à réaliser que la chose la plus importante que tu peux faire pour ta vie, pour toi-même et pour tous ceux que tu connais, c’est protéger ton énergie plus farouchement que n’importe quoi d’autre.

Fais de ta vie un refuge sûr, dans lequel seules les personnes “compatibles” avec toi sont autorisées.

Tu n’es pas responsable de sauver les gens.
Tu n’es pas responsable de les convaincre qu’ils doivent être sauvés.
Ce n’est pas ton travail d’exister pour les gens et de leur donner ta vie, petit à petit, instant après l’instant !

Parce que si tu te sens mal, si tu te sens dans le devoir, si tu te sens obligé(e), tu es la racine de tout ça par ton insistance, en ayant peur qu’ils ne te rendent pas les faveurs que tu leur as accordées…
Il est de ton seul fait de réaliser que tu es l’aimé(e) de ton destin, et d’accepter l’amour que tu penses mériter.

Décide que tu mérites une amitié réelle, un engagement véritable et un amour complet avec les personnes qui sont saines et prospères.
Puis attends… juste pour un moment…
Et regarde à quel point tout commence à changer…”

Sir Anthony Hopkins

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Le rasoir d’Hanlon

Le rasoir d’Hanlon est une règle de raisonnement permettant d’éliminer des hypothèses. Formulée en 1980 par Robert J. Hanlon, cette règle s’énonce de la manière suivante :

« Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise suffit à expliquer ».

La règle tire son nom du rasoir d’Ockham, qui pose un principe de simplicité, tant au niveau métaphysique, en recommandant de ne pas multiplier les conjectures sur les entités, qu’au niveau méthodologique, en recommandant de ne pas multiplier les hypothèses.
Elle revient donc à considérer soit qu’il est plus simple et donc plus plausible de supposer la bêtise plutôt que la malveillance, la première étant plus vraisemblable en général, soit qu’il est inutile d’ajouter la conjecture d’une intention maligne à celle d’un manque de compétence. Cette règle ne caractérise toutefois la bêtise qu’au plan du comportement.
D’autres notions, celles de biais cognitif, de principe de charité ou d’effet pervers, permettent d’éviter que l’opposition entre malveillance et bêtise ne devienne un faux dilemme.
La formulation anglaise habituelle du rasoir d’Hanlon est la suivante :
« Never attribute to malice that which is adequately explained by stupidity ».

Le rasoir d’Hanlon se traduirait donc en français de la manière suivante :

« Ne jamais attribuer à la malveillance ce que la bêtise (incompétence) suffit à expliquer ».

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Buddha and the poor man.

One day a poor man asked the Buddha, “Why am I poor?” The Buddha replied: The reason you are poor is because you do not know how to share and do not know how to share.
Hearing the Buddha’s order, the poor man replied to the Samma Samputa: “I am very sorry, I have nothing to share with others.”

The Blessed One replied, “You have many things to share with others.”
You have a face, you can smile, give a smile to others, make others happy.
You have a mouth, you can use your mouth to say nice words, say useful words, encourage others, make others happy.
The wise can give knowledge to others to dispel the darkness. You have the heart, you should learn to open your heart to others with purity, honesty, truth with compassion.
You have a pair of eyes, you can look at others with compassion.
You have a body, you can use your physical strength to help others when they are in trouble, have a bad emergency all the time.

Think about it, you are not poor. “Poor heart is the name of the real poor. In fact, we can all be” givers “because giving does not only refer to money and material things.

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Le rebelle

“Un rebelle est celui qui ne réagit pas contre la société.

Il observe et comprend tout le manège et décide simplement de ne pas en faire partie.
Il n’est pas contre la société, il est plutôt indifférent à ce qui s’y passe.
C’est la beauté de la rébellion: la liberté !

Le révolutionnaire n’est pas libre.
Il est constamment en train de se battre, de lutter avec quelque chose.
Comment pourrait-il donc être libre?
Il est systématiquement en train de réagir contre quelque chose.
Où est-ce que se trouve la liberté dans la réaction mécanique à des choses extérieures?

La liberté naît de la compréhension.
Il faut d’abord comprendre les mécanismes en jeu :
la société empêche l’évolution de l’âme.
Le système ne vous permet pas d’être vous-même.
Une fois que cela est compris, vous sortez simplement du système sans même une cicatrice dans l’âme.
Le rebelle pardonne et oublie, il se contente de prendre une distance par rapport à la société, sans lien d’amour ni de haine avec elle.”
Osho Rajneesh “la liberté”

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